Elections ordinales 2024 : le registre des candidatures est officiellement ouvert ! Découvrez le calendrier électoral. Cliquez ici
Fermer
Fermer
Menu

Appel aux avocats de France : défendez les soldats arméniens prisonniers

Mis à jour le 22 novembre 2021

Le barreau de Montpellier communique la sollicitation adressée aux avocats français par les familles de soldats arméniens condamnés à de lourdes peines, en Azerbaïdjan, dans des conditions de procédure et de droit scandaleuses.

L'appel s'adresse à tous les confrères français (non seulement anglophones et pénalistes) qui accepteraient de se rendre à Bakou pour assister les fils de ces familles dans le cadre d'appel formé contre ces condamnations. Le gouvernement arménien s’est engagé à prendre en charge les frais liés à l'intervention de chacun. 
 
L'appel est lancé sur la base des renseignements pris à Yerevan (Arménie) par Monsieur le Bâtonnier Luc Kirkyacharian du barreau de Montpellier, mandaté par Monsieur le Bâtonnier Nicolas Bedel de Buzareingues du même barreau, au cours de rencontres organisées par un médiateur des familles des soldats prisonniers et un responsable des enquêtes en cours sur des crimes de guerre réalisés par les Azéris sur les soldats arméniens. 
 
Notre Ministre des affaires étrangères est informé de l’initiative, tout comme le Conseil de l’Europe, les Organisations internationales et le barreau d’Arménie.
 
Cette initiative a, aujourd'hui, un caractère urgent et nécessite une mobilisation immédiate. 
 
Celles et ceux qui acceptent y donner suite sont priés d'adresser un mail, avant le 25 novembre 2021, au barreau de Montpellier (batonnier@avocats-montpellier.com), à l'attention du Bâtonnier Luc Kirkyacharian, en précisant leur nom, leur prénom, leurs adresses postale et mail. Les signataires acceptent que ces informations soient communiquées au gouvernement arménien. 
 
Une fois la liste des signataires fixée et le calendrier précis des procédures déterminé, chaque signataire sera précisément informé des conditions de son intervention. 

Ne manquons pas l’occasion qui nous est donnée de répondre !